L’hôpital Charles Nicolle à Tunis a réservé 14 lits de réanimation aux malades du COVID-19, dans l’un de ses services, a annoncé la directrice générale de l’hôpital Souad Sadraoui.
Dans une déclaration à l’agence TAP, la responsable a souligné que le service réservé aux malades du COVID-19 contient également 8 lits chirurgicaux en cas de besoin faisant remarquer que l’hôpital a aussi réservé un autre service bien équipé dans le cadre de la lutte contre la propagation du nouveau coronavirus responsable de la maladie du COVID-19.
Elle a, par ailleurs, signalé que les services de l’hôpital ont mis en place un protocole de prévention contre le coronavirus afin de faciliter la prise en charge des malades par l’ensemble du personnel sans craindre la contamination.
Dans ce contexte, elle a souligné que l’hôpital a adhéré à la stratégie nationale de lutte contre le coronavirus lancée par le ministère de la santé et œuvre à appliquer l’ensemble de ses points.
Sadraoui a précisé qu’à ce jour, le service d’urgence de l’hôpital n’accueille pas les personnes atteintes du COVID-19 signalant qu’il serait possible de le faire dans les prochains jours si le ministère de la santé donne son autorisation.
La responsable a rappelé la nécessité de se conformer aux mesures du confinement général afin de se prémunir contre la maladie.
Le ministre de la santé, Abdellatif Mekki, s’était rendu lundi à l’hôpital Charles Nicolle pour prendre connaissance des conditions de sécurité, d’accueil et de prise en charge des malades du COVID-19 qui seraient transférés à cet établissement hospitalo-universitaire.
À noter que la Tunisie a enregistré en date du 23 mars 2020, 89 cas confirmés d’infection au coronavirus dont 11 sont hospitalisés. Environ 8800 personnes sont en confinement et sous surveillance médicale. En Tunisie, le COVID-19 a fait, jusqu’à présent, 3 morts âgés de 60, 75 et 77 ans.
Liberte
24 mars 2020 à 12:18
Moi perso je ne fais pas confiance à cet hôpital de la mort, 80% de ses médecins sont alcooliques, ils ont un taux d’alcoolémie dès la prise du travail de l’ordre de 3 à 5% aucun contrôle n’est effectué et je ne sais pas comment ils peuvent tenir pour exercer leur travail, vive la CELTIA.